A lire sur le blog..., ma vie de marketeuse repentie
Pour cette pleine lune sous le signe du verseau et dans l’énergie d’Imbolc, de purification, de renouveau, de renaissance.
Il est temps de récolter tout ce que nous avons semé dans la justesse et de le récolter en abondance. Mais pour cela, il nous faut nous mettre en chemin.
Oser.
Oser grimper sur notre monture et aller vers ce qui fait vibrer notre âme. Toutes nos actions justes, c’est-à-dire dans la justesse de notre vibration, seront récompensées.
Nous allons parvenir à dépasser les hostilités et les obstacles si nous parvenons à entendre l’individualité de notre chemin. L’unicité que cherche à déployer notre âme. Ici dans l’incarnation humaine, avec toutes les nuances que créée la matière.
A lire sur le blog..., ma vie de marketeuse repentie, ombre, Prendre sa vie en main
C’est tout ce jeu d’ombre et lumière. Pour commencer le véritable chemin d’acceptation de soi, d’amour de soi, il faut intégrer sa part d’ombre. Je ne peux pas être uniquement un être de lumière. J’ai aussi tout mon lot de moins joli, de choses que je planque sous le tapis parce que j’ai du mal à me voir comme ça. Alors je le vois chez l’autre et ça me met en colère…je le vois chez l’autre de manière exacerbée.
A lire sur le blog..., ma vie de marketeuse repentie
J’ai beau réfléchir, tourner ça dans tous les sens et je réalise que quelle que soit la problématique pour laquelle les gens viennent me voir, ça se résumer toujours à une seule chose : S’AIMER.
Le jour où on réalise que s’aimer soi-même est la seule clé à tout. Le jour où vous allez décider de vous choisir : VOUS. De mettre de côté les croyances bidon sur le fait que s’aimer, c’est être égoïste, que s’aimer, c’est être nombriliste, que s’aimer, c’est se couper des autres. Vous aurez tout gagné. Parce que tout chemin de guérison passe par l’amour de soi.
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C’est vrai que ceux qui m’ont connue il y a 10 ans ont du mal à me reconnaître aujourd’hui et inversement, ceux qui me connaissent aujourd’hui ont du mal à imaginer celle que j’étais à l’époque. Et pourtant.