Je réalise que ce que je sais faire ou ce que je fais ne me définit pas.
Dans notre société où on se définit beaucoup par le faire, on ressemble plus à des « actes humains » que des « êtres humains » pour finir.
Avez-vous remarquer qu’une des premières questions que l’on pose lorsqu’on rencontre quelqu’un, c’est « et toi, tu fais quoi dans la vie ? » et pas « et toi, tu es qui dans la vie ? »
Aujourd’hui, le faire est survalorisé, plus on en fait, mieux c’est. Si on prend le temps de se ressourcer, de se poser, de faire une balade pour aérer son esprit brumeux…bien souvent, une point de culpabilité vient frapper à la porte